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flannery o'connor - Page 4

  • Livres du matin / du sac à main / du soir.

    Le matin, relecture du livre d’Ahmet Altan, Je ne reverrai plus le monde, en notant encore une fois, pp. 39 et suiv. le passage sur l’absence de miroir dans la prison : « Dans tout ce quartier de cages, on ne trouvait pas un seul miroir, ni bout de verre réfléchissant, pas la moindre surface brillante. (…) Il leur avait suffi d’enlever les miroirs pour nous éliminer. »
    Dans le sac à main, Journal de prière, de Flannery O’Connor.
    Le soir, allers et venues entre Les sœurs Brontë, de Laura El Malki qui cite en exergue une phrase d’un roman d’Anne Brontë, Agnès Grey : « Les liens qui nous attachent à la vie sont plus forts que vous ne l’imaginez », et Rendez-vous avec le mystère, de Julia Chapman, un roman policier mettant en scène deux détectives prénommés Samson et Delilah.

  • Moisson.

    Remarquer trois violettes particulièrement discrètes qui poussent au pied du mur : elles sont derrière des orties.
    Considérant qu’un des cartons « Littérature américaine » dans lequel il y avait George Eliot, Flannery O’Connor et Henry James, préparé lors du déménagement d’il y a quelques années, a définitivement disparu, aller à la librairie Charlemagne commander quelques romans de Georges Eliot. Heureusement, Jack London, Carson McCullers, Jack Kerouac, Steinbeck, Harper Lee, et Eudora Welty avaient été mis dans le carton « Littérature américaine suite » qui ne fut pas perdu, lui.
    Faire du riz car le Carême commence.
    Continuer sur le chemin du refus de l’envahissement des contraintes inutiles.
    Recevoir une jolie carte faite maison avec des petites pierres et du bois flotté ramassés sur une plage un peu lointaine, ainsi qu’une « magnet » bleue sur laquelle il est écrit : A booklover never goes to bed alone.